L’ombre de la vie
La mort frôle la vie doux comme une caresse
Propageant sans un bruit le sommeil de l’ivresse
Lui redonnant ainsi le goût de l’évasion
À celle qui se dis Compagnon de raison
L’être à qui profite ce moment de tendresse
Entre deux forces pure au parfum d’ingérance
Ce voit donner en grâce un bouquet de saisons
Qu’il gardera au cœur souvenir de passion
Le temps mis à profit soulagera son âme
Du geste de l’oublie proche de ceux qu’il aime
Affection partagée dans le corps de l’esprit
Il saura tout laisser en ordre de bohème
Vénération respect considérant le thème
En quittant sa moitié pour l’ombre de soi-même