À l’ombre du soleil
À l’ombre du soleil j’ai trouvé la lumière
Au cœur de l’éternel sommet de ma prière
Un côté de l’amour ou le corps ne raisonne
En phase de ces jours dont l’esprit s’abandonne
Dans ces yeux j’ai versé des larmes d’innocence
La chaleur d’un été la joie de mes errances
Sur la plage de l’âme à l’aube d’une flamme
Passe le temps des mots en découvre une femme
Celle qui donna vie aux rêves de l’enfance
La fleur qui m’a promis tout une exubérance
Profusions qui se rient de simple désaccord
Dans le ton de l’audit qui rime avec la mort
En terre de ma vie je me rappelle encore
Ce sourire de ride de ces mains que j’adore
Nous voguions tout les deux sur le même canal
En onde si profonde au joyeux terminal
Elle partit un jour rejoindre un autre ciel
Etoile au doux rayon qu’abandonne le miel
Amphore au corps de vierge déversant sa lumière
Dans une voie lactée ou coulent nos prières