L’aube d’un temps nouveau
L’ aube d’un temps nouveau fait naitre bien des proses
É crit en chant d’oiseau l’aurore en-lui s’impose
R osaire d’une brume en perle de ces lèvres
U ltime condensé porcelaine de sèvre
D ocile cependant en courbure de chêne
I dole d’une vie au contact de sa peine
T isonnant son édit dans la forge des lieux
L’érudit s’émerveille plongeant là son épieu
Au cœur de la fournaise répondant à son crie
Drame nourrit ces veines en encre qui se rie
Des larmes de la scène au charme de ces nuits
Voisin de cette alarme au travers de son fruit
Le vers réduit son arme en nombreuses homélies
Ou chagrin n’a pas d’âge se transformant aussi
Valeureux personnage aux dessins de nos vies
L’amour la mort l’adage de ce font d’horizon
Plonge dans l’ombre sale de la simple oraison
En l’âme abyssale ténèbres de passion
L’esprit rempli de chaine par rejet d’omission