À l’aube de l’éveil
Relevant de l’hommage fête en son étalage de saveur sans pareil
Le poète se targue de ne point être en marge au pays du soleil
Occultant la vision que l’on avait de soi il soumet sa romance
Dans notre délivrance il charmes nos saisons
Antonyme des mots se disputant sans cesse
Jusqu’au fond du baptême que lui a donner démon
Il noie dans sa détresse l’angoisse qui l’oppresse
A l’appel de son nom
Nonchalamment posait à ces rêve de lèvres ou baisé c’est lové
Laissant parlé son corps au dessus des avances en rosée gémissante
Il écoute mugir au ventre qu’il attire dans son pandémoniums
L’esprits qui le titille au centre des familles la passion des légions
L’ardeur qui le fait vivre attise le saint homme au-delà de l’éveil
Nous laissant partager la vague qui l’anime au sein de l’odéon
Parfois il nous attire monarque délébile au son de l’harmonium
Nous chantant ces délires au repas de ces cons
En montant sur la crête sommet du roi lion
La bête qui sommeille en nous au panthéon
Recouvre cette grâce au yeux de sa passion
Faisant fi de la rage que protège raison
Il plonge sur la page et délivre les sons
Nous pensions tout connaître au regard de ce crane porté en médaillon
Mais mal jugé ce maître ce n’est pas reconnaître la voix de son pardon
Car poète secrète dans l’âme de son être une foi de gascon