Avant l’après il n’y avait rien.
Sinon le vide.
Dans celui-ci il y avait tout.
Première création.
L’homme créât le temps ce parfait illogisme, pour définir l’espoir, l’illusion de ces rêves. En heure fractionné au sommeil de son monde.
Montrant de-ci de-là une ombre à son soleil.
Un outil bien utile au robot que nous sommes.
Mais chose bien futile à l’âme de nos corps, esprit qui s’en réclame au-delà de la mort.
Il partagea son temps en jouer inutile fractionnant celui-ci en nombre réfractaire l’accordant chaque fois qu’il lui est nécessaire, à l’aube de ces jours il en fit sa raison.
Le temps coule à présent comme l’eau sur la pierre dans un courant rapide sans cesse remonté d’un tourbillon de sang au passer de lumière, retenu par les chants d’un avenir précaire.
Fluctuant sur les ondes d’un récif incertain y poursuit son envol lui qui n’est fait de rien.
La vie n’a pas besoin d’un temps frappé de guerre, ni d’un présent futur qui ne ressemble guère au passer délaver d’un avenir lointain.
Elle se rie des parcelles morcelées de la terre plongée dans un combat au relief délétère sachant quelle reviendra
Même ci mort sévère.