Les chants d'amour
Quand l’amour naît d’un tout petit regard
Les yeux scintillent telle la lumière d’un phare
Les ombres dansent dans une valse du temps
Des corps se balancent avec le souffle du vent
Quand d’un coup les rideaux sont doucement tirer
Il n’y a que murmure jouant comme une syncopée
Sous la lune qui voyage en passant sur les corps
Pour ce chant d’amour qui jouera jusqu’à l’aurore
Courant sur les amants sur leurs peaux nacrées
Les baisers, les caresses lentement vont s’étirer
Afin que cette musique dure indéfiniment
En mouvements saccader d’un doux étirement
Du corps les coeurs qui battent la chamade
Dans la moiteur des peaux, les perles de rosée
Ces fines gouttelettes d’odeurs si parfumer
Devient comme un encens qui vient envoûter
Donnant aux êtres ces moments de frénésie
Draps froisser sur les corps qui s’enchevêtrent
Des instants de bonheur pour cette fête
Les corps se ploient, une danse des ombres
Une mince lumière éclaire dans la pénombre
Les souffles courts des élans de tendresse
Des mains qui passent lente pour les caresses
Le chant des rêves des nuits pour les ombres
Fomalhault