Les larmes d'un ange,
Assise seule sur son lit,
Des larmes coulent sur ses joues,
Cette pauvre âme presque sans vie,
Dont la conscience est dans le flou.
Personne n'a donc compris,
Pourquoi cette pauvre fille pleure,
Dans le silence de l'infini,
Cette magnifique fleur,
Qui a, maintenant, flétrit.
Ne pensez-vous pas,
Qu'il y ait une raison,
Au fait qu'elle ne sorte pas,
De son infranchissable prison?
Elle reste enfermée,
Toute la journée dans sa bulle,
Elle finira par y fanée,
Plus rien n'y circule.
Jour après jour,
Elle perd un peu plus de vie,
Pourtant tout le monde en rit,
Court, bel ange, court...