LETTRE POUR UN AMOUR PERDU
Un vent de tempête vient de tout balayer et d’énormes nuages gris ont assombri ma vie, les pensées que j’avais pour toi deviennent des obsessions, elles sont bien ancrées en moi pourtant.
Les souvenirs de toi mon tendre amour sont encore si vivant, tes joies, tes sourires, tes tristesses, je les revis à chaque instant et j’ai le coeur qui me fait mal lorsque dans mes rêves, j’entends ta voix
Je me souviens des matins doux après avoir consommé nos tendresses, nos caresses, de nos nuits blanches faites d’amour fou.
Rappelle-toi les jours ou le soleil brillait pour nous, nous marchions dans ce sentier avec le bonheur dans nos coeurs, nos pas légers froissaient, foulaient les herbes hautes et les fleurs sauvages, toutes frissonnaient en se ployant comme ton corps dans ses gémissements lorsque je le caressais en l’effleurant de ma tendresse.
Je cueillais une fleur que je posais sur ton coeur son parfum t’enivrait, c’était pour nous des moments d’ivresses et de joies, c’était des heures de bonheur qui faisait palpiter nos cœurs.
Un vent de chaleur nous traversait, léger, ils nous donnaient des ailes et les rêves que nous faisions en étaient des plus doux.
Un arbre immense aux larges feuilles sous lequel nous rêvions de vivre un amour éternel. Cet arbre de vie aussi vieux que le temps ou nous venions consumé notre amour.
Chaque bruissement dans ses feuilles suivait le rythme de nos baisers c’était un vent léger qui soufflait la tendresse comme mes caresses sur ton corps.
Il nous couvrait entièrement, nous protégeant de la pluie qui tombait ou d’un soleil brûlant, les gouttes d’eaux qui glissaient sur nos joues n’étaient que des larmes d’amour.
Aujourd’hui cet amour n’est plus qu’une ombre qui fuit comme le temps.
Je suis avec mes rêves et des larmes de chagrins coulent de mes yeux car mes espoirs ne sont plus.
Ce lieux dans lequel nous avons marchés tous deux en se tenant enlacer en se disant les mots tendres et doux, de tout cela plus rien n’existe, je ne vois qu’une brume qui demeure et me fige. Je refais à nouveau les pas que nous faisions en parcourant ce sentier en se tenant la main.
Aujourd’hui, il est devenu un labyrinthe dans lequel je me perds, je cherche encore cette mince lumière qui nous guidaient, mais tout est noir et il devenu si petit que je n’en vois pas la fin.
Je ne dis plus un mot, je revis tous ces moments passer ou j’étais heureux avec toi, ma tendre, ma bien aimée.
Hélas ! Tu es parti et je reste seul.
Je le sais, tu ne reviendras plus c’est cela qui me cause les peines, mes cris, tu ne les entendras plus, mes rires, mes joies tout a maintenant disparu, j’attend, je ne sais quoi, je ne sais plus.
Mes yeux me brûlent depuis ce temps, mes pensées tristes m’accablent, elles sont là, tes mots de tendresses et d’amour, tes rêves autant que les miens, je les garde précieusement en mémoire.
De toi, tout m’obsèdes, mais cette place que tu avais en moi est à présent vide.
Dans mes nuits, je te sens contre moi, tu me couvres de ta chaleur, elle vient m’envahir, je sais quelle ne disparaîtra pas, pourtant j’ai si froid dans mon corps que mon âme se lamente.
Je vis cette éternelle flamme, qui me consume lentement, elle vit encore pour toi, elle durera, rien ne pourra l’effacer.
Mes tristesses et ma solitude sont présentent depuis ce temps et je ne sais comment, je pourrais m’en défaire, je suis devenu un nomade qui cherche son âme, ton immense amour ainsi que ta tendresse me manque énormément.
J’ai perdu l’amour de ma vie, celui qui me faisait passer ces instants, ces heures d’inoubliables bonheurs.
Cet amour si fort est remplacé par l’ennui dans lequel maintenant je vis, c’est à présent la mélancolie qui s’est incrusté en moi, le temps n’a pas éteint ce fantastique amour que j’avais pour toi.
Il n’y a pas si longtemps de tout cela !
Tu n’es plus là pour me consoler dans mes peines pour me bercer de tes mots de réconfort, ces mots que j’aimais entendre de ta voix qui me rendait fou, tes je t’aime, je ne les entends plus pourtant, je t’aime si fort encore.
Oh ! Mon amour, mon tendre amour, toi qui faisait de mes rêves, ma force de vie, toi rêves de mes nuits, je t’ai perdu.
Mon coeur bat sans cesse pour toi, mais tu ne le sens pas, je ne peux t’oublier, je voudrais tant te redire à l’infini, je t’aime, te le crier jusqu’à mon dernier souffle, mais seule reste ton image dans mon esprit, elle vit.
Tout de mon être, toutes mes pensées ainsi que mon âme vont vers toi pour te dire, je t’aime, je t’aime de toute ma folie.
MON AMOUR A DISPARU
A présent, je n’ai que les nuages et la pluie
Je vis lentement comme une ombre, je fuis
Je t’aimais de cette tendresse douce du vent
De mes caresses, mon coeur de ce temps
Je garde avec moi, les merveilleux souvenirs
Qui nous faisaient pleurer, nous faisaient rires
Je meurs de faim de tes caresses, tes baisers
Que tu me donnais, sans jamais te lasser
Aujourd’hui, je t’ai perdu là-bas loin du sentier
Dans lequel, nous allions tous deux pour s’aimer
Rêver d’une vie d’amour, mais elle n’est plus
Tu es parti, me laissant en oubli sans but
Je pars dans cette brume, sans rien voir
Avec mes attentes, avec mes désespoirs
Mais toi, tu te faufiles comme une ombre
Me laissant seul ainsi dans la pénombre
Toi l’amour de ma vie, de ma douce folie
Muse de tous mes espoirs dans mes nuits
Tendresse de mon coeur et de mon âme
Je t’aime de tout mon être, je te clame
Fomalhault