Mon cœur saigne je ne peux l’arrêter,
Mes yeux pleurent je n’ai pas la force d’essuyer,
Mes larmes je les laisse parcourir mon visage,mon corps,
Comme hier tes baisers me parcouraient,
Où pourrais-je encore trouver le repos si ce n’est dans la mort,
Mon soleil s’est éteint, mes fleurs se sont fanées, mon cœur s’est aigri,
Quand cette pluie de chagrin m'a submergée,
J’ai perdu mon nord ma raison de vivre, de respirer,
Je voudrais partir comme s’en vont soit disant les chagrins,
Les miens eux ne s’en vont pas, ils restent, me tuent,
Je ne me débat pas car cela ne servirait strictement à rien,
Car la cause est déjà perdue, ce qu’il me reste à faire c’est d’accepter la mort.