Le sommeil qui s’acharne à recouvrir d’un voile
L’esprit fécondité
En secret sur la toile aurait-il existé
Depuis ce temps d’années
Sommes-nous peu de choses au corps de notes blondes
De pastels délayés
Au point de ne connaître l’amant de nos moitiés
Empreint de vérité
Ne versons pas de larmes au-delà de la flamme
Au point de tout brûler
L’amour sur nous réclame au cœur de notre dame
Cette sincérité
Peut-on dire que l’être a raison de paraître
Ainsi dégénéré
Femme venu de l’âme par-delà de ce monde
Pour nous fertiliser
Si royaume de l’homme entache de ça forme
L’esprit dénaturé
Plus sombre que la tombe altérée par son ombre
Nous semble oublier
Greffon de notre foi de ceux en qui l’on croit
A jamais profané
Que reste-t-il du moi au fond de notre quête
Cette soif de conquête
Que reste-t-il de nous après ta mort ma reine
Couronne de blasphème
Que reste-t-il de toi toi qui as lu cela
Peu de foi que tu as