Tu en avais assez : jour aprés jour souffrir
En appeler la mort mais quand même pas mourir
Et ceux qui ont quitté la vie tout comme toi
Elle n'a pas écouté, n'a pas laissé le choix.
ANNIE, tu es partie, tu voulais tant rester
Pour vivre avec lui un avenir tout tracé
Vieillir à deux : la joie que tu n'as pas connue
Partie sans un cri, vers l'audelà inconnu.
Tu n'as pas eu le temps de faire à tes parents
Les fruits si chers de l'amour : des petits-enfants
Qui méleraient leurs rires à ceux de leurs cousins
Comme tu étais belle, si prés de tes vingt ans !
Tes yeux clairs regardaient le futur tout au loin
N'ayant compris la fin qu'au tout dernier moment.
A ANNIE..... qui ne vieillira jamais dans nos coeurs