C'est un vieux poeme. Je l'ai retrouvé, je l'aime bien.
Je sais pas si c'est le bon forum au fond, mais il est le reflet de ma mélancolie...
Dans la cité tu cours
Bois à t'en rendre sourd
Dans les rues tu cries
Toute ta haine et ton mépris
Libre, tu es libre
Tu aimes vivre
Tu te sens bien
Malgré ce froid de chien
Dans cette grande ville
Tu ères, de bars en asiles
Tu rêves et tu y crois
Un jour ça sera possible tout ça
Frissons de minuit
Un ange passe et s'enfuit
Délires d'un rêveur
Il te tiens la main, ton sauveur
Rue désertes et toi qui t'imagine
Voler au dessus par la force divine
Des rêves pleins la tête
Ne plus s'arreter, continuer à faire la fête
Liberté de vivre et de rêver
Que c'est beau l'hiver sur la ville éclairée
Les étoiles qui brillent
Et tes yeux qui sintillent