Burkina Faso
Quelque part au milieu
D’un grand continent où les cieux
Toujours torrides et pleines de chaleur
Où j’ai vécu beaucoup de meilleur
La bouffe chaude qui dégouline dans la gorge
Une sauce aux arachides
De l’eau comme désir
Et aussi, l’amitié bien aimé...
Près d’un village ancien
L’on sent le sable et l’eau
Assemblés en boue d’amour
Pour simplifier la vie de vivre
Et respirer, respirer plus tard quelque chose de bon.
Oui, le soleil sur cette place d’Afrique était bon.
Oui, je me souviens ce ces visages noirs, souriants...
Un vêtement déchiré, une maison petite, de terre,
Un petit thé avec des personnes,
Et ce vieux lit à même la terre
Et ce noir....
Maintenant que je fume un bath,
Ecoutant bob Marley sur l’ordi,
Je me sens bien. J’aime écrire sur le passé
et penser que vous aimerez...
Pourquoi ne pas continuer, à parler de Bamago et de Mustapha
Du Fanta à l’orange et des maquis en soirée.
De Mylène ou de la drogue.
Etre moyen, ne pas trop demander et accepter
Le moment le deuxième.
Burkina Faso. Nous étions 10.
Au milieu d’une maison, avec les arbres, le soleil tapant et le sec.
Les Manguiers, la bouffe et la St-Jean...
C’était ailleurs, c’était là-bas.