PEU M’IMPORTE MON AGE
A l’aube quand blanchit le ciel sur la colline
Tu t’en vas Victor dans le petit matin
Dans le brouillard épais trainant sur le chemin
En cherchant quelques vers pour finir ta comptine.
Tu laisses tes couplets s’étaler sur la page
Tu cisèles les mots pour en faire un refrain
Pour permettre aux lecteurs de partir en voyage.
Je vogue chaque nuit dans ton bel univers
Où le vent des chansons déride mes déserts.
Je chanterai ton nom, peu m’importe mon âge.
jc blondel