Piano solo
Sur les branches de mon clavier l’écrit se joint à mon passer
En notes litaniques se pausant sur ma vie
Comme une douce brise au soleil délaver
Vêtu de menthe grise je me sers de ces cries
Si le temps n’a pas d’âge je comprends maintenant
En soit le moyen-âge n’en serait plus présent
La force de ma rage s’en décuple d’autant
Au relent de souffrance à ces milliers de gents
La plage qui m’habite au cœur n’est poing présence
Car la foi qui s’anime enfante l’occident
De ces pensées qui rimes encore avec le vent
Sur ces ondes de mîmes qui engendre le sang
La mort pousse ces ailes sur le dos de l’aimant
Veillant attire d’elle de supprimer l’amant