Vent d’amour
Les sons qui viennent de ma Muse
Me plonge dans la mélancolie
Et de toutes mes pensées de vie
Seul ses mots me rassure
Je ne sais plus cela me déroute
Des larmes glissent dans mes rêves
Marchant à pas lent sur la grève
Je pense à celle qui m’envoûte
Une brume légère me cache l’horizon
Mes yeux s’embuent, je ne vois plus
L’ombre d’un fantôme à ma vue
Au loin quelques traces en filaments
Je sens sur mon être les frôlements
L’immense tendresse de ses baisers
De sa grande douceur d’aimer
Dans ces moments si brûlants
Prolongement d’amour de ses vagues
De caresses folles de ses mains
Parcourent mon corps de cette faim
En me laissant bercer je divague
Une silhouette danse avec la lune
Dessine de son corps des arabesques
Qui m’enveloppe dans sa fresque !
Avec tous ces mots qui parfument
A chaque pas je me sens fondre
Elle est là mon cœur s’affole
Dans mes pensées des idées folles
Je pars avec elle dans la pénombre
Fomalhault