Tromper la mort qui plane au seuil de nos maisons
Rejoindre les abysses des mémoires opressantes
Trouer son coeur qui broie les sillons des amantes
Nager corps puis âmes obstruant la raison
Boire le sang des regrets et des incomplétudes
Empoisonner Passé des promesses ténues
Ouvrir notre être au pas foulant les sentiers rudes
Déshabiller la peau qui nous a mis à nu